Nom: Araki
Prenom: Ryuga
Nindo:Je changerais cette vision du monde, je changerais sa face, et j`instaurais la paix. Et pour cela j`utiliserais l`enseignement du rikkudou Sennin dans toute sa gloire et sa puissance pour rétablir le monde
Kekkai Genkai: Hikariton
Information supplémentaire: Dédoublement de personnalité


Caractère : (donnez une note sur 10)

Loyal : 8/10
Orgueil : 8/10
Ambitions : 8/10
Tolérant : 8/10
Courageux : 810
Déterminer : 9/10
Timide : 5/10
Sage : 7/10
Luxueux : 3/10
Prudent : 8/10
Prétentieux : 8/10
Intelligent : 9/10
Honnête : 9/10
Avare : 9/10
Vicieux : 7/10
Manipulateur : 7/10
Serein : 3/10

Description Physique et mentale :

Par delà les frontières, les clairières, les marécages et les forets denses, au cœur d`une cité, dont nul connaissait la porte de l`érudition, que ce soit terrestre ou historique, fut jusqu’à présent conservé dans l`anonymat le plus sombre. Un palais, s`élargissant à tout le pays, aucunement semblable aux résidences leurrées d`une malheureuse porte d`entrée et de quelques fenêtres, qui faisait la fierté de vos soi-disant seigneurs. Pays, à la superficie démesuré, réduisant vos grandes quêtes de territoires, en de simples voyages d`entretiens. Cette nation tant convoité, mais jamais vivement exploré, répondait à l`appellation de « pays des démons ». Dénomination rapporter par les dresseurs d`anecdotes que vous nommez, historiens. Chroniqueur médiocre, apeuré par notre suprématie, n`ayant rapporté de notre grand pays, que leurs pires craintes infondées. Continuellement balayé d`une douce brise, fraiche et apaisante, caressant la luxuriante végétation qui faisait notre fierté, des saisons cycliques régissaient le climat humide et mélodieux, qui s`imposait en ces toiles de fond de notre patrie.

La royauté, instaurait une atmosphère de paix et, leur conseillers proclamaient leurs louanges dithyrambiques. Différentes familles, milices de cette contrée, proliféraient au service de cette royauté, mais seul neuf de ces dernières, piliers des vertus de ce royaume et, dont leur ancienneté suscitait le respect, composait la garde royale. Ce temps de paix, de réjouissance et d`amour était-il réel ? Ou était-il seulement rigide face à la malice qu`est notre race, en quête incessante de pouvoirs, déversant haine et destruction sur le chemin de cette paix utopique. La réponse à cette question apocalyptique, comparable à une prophétie des cieux allait s`abattre, tel un rocher interstellaire sur notre royaume, jusqu`à maintenant, à l`abri de ce Méphistophélès. Un décor neutre, un paysage tout aussi impavide, siégeant au seuil d`une contrée lointaine, allait être le foyer d`évènements singulier. Ce panorama n`était autre que le nôtre. Cette scène, spectateur du dramaturge humanoïde de ce théâtre tragique, où toutes nos vertus et notre fierté en notre Fief héritage allaient être balayés sous une rafale d`évènement dantesque.

~1. Des ténèbres à la renaissance~
Un jour plus qu`envieux, dont le soleil nous faisait l`honneur de frapper de ses lances de lumière, nos terres divinement assoiffées de cette astre, après une longue nuit fraiche et aride. Les oiseaux, chantaient leurs miséricordes, aux fenêtres des demeures logées, aux alentours d`un édifice murale et moderne, siège de la famille royale, répondant à l`appellation de parentèle Araki. Cet échafaudage, comme pour témoigner de la puissance économique de notre pays, était doté de quatre tourelles Babyloniennes, pointues en leur sommet, reliées entre elles, par des canaux transporteurs, tel des vaisseaux sanguins irriguant ce corps pur. Leur taille était telle, qu`une matinée entière était nécessaire au débarquement en son summum. En leur centre, d`où, ces artères et veines de transports s`éparpillaient, s`élevait le cœur de ce pays. D`un style gothique, semblable à une cathédrale de plusieurs étages, cette dernière était vernie de nombreuses tapisseries, d`innombrables salles servant aux évènements particuliers ou quotidiens et, de pièces consacré uniquement aux entrainements diurne. En rien, comme je vous le faisais remarquer, ce pays n`était semblable au votre et, en rien ce palais, à vos demeures classiques.

Ce jour était spécifique. Ce crépuscule était en effet d`une importance capitales, dans la suite des évènements. Vous me demanderez peut-être, en quoi, cette nouvelle aurore, était-elle, si importante ? Il n`y aurait point de suspens, de vous le dévoiler aussi sèchement. C`est la raison pour laquelle, je ferais une petite anecdote sur cette fameuse garde royale dont je fis la citation plus tôt. Comme je vous les fais remarquer, cette dernière est composée de neuf familles, tous s`adossant dès le plus jeunes âges, à un enseignement des arts martiaux et aux doctrines d`un guerrier samouraï, se spécialisant ainsi à un domaine de ce dernier. Chacune des neuf familles gardiennes, arbore en son sommet, un chef, participant aux évènements diplomatiques et, s`élevant tel le porte parole de sa famille. Certes, cette garde royale, protectrice rapprochée, est également l`une des seule forces militaires, à posséder le droit d`approcher la famille souveraine. Cette règle, certes confuse et inapproprié, pour un si grand royaume, mais inévitablement nécessaire à la survie de ce dernier.

Mais pour qu`elle raison, des mesures aussi draconiennes sont-elles prisent, à l`égard de cette famille principale ? Cette claustration de la souche régalienne est dû, tout simplement, littéralement, aux ténèbres se mystifiant dans l`ombre de ce pays et, de chaque être composant cette famille royale. Le chef de chaque parentèle composant la garde, était tenu au plus grand silence, sur les agissements douteux de cette famille souveraine. Au premier regard, on pourrait, peut-être imaginer, que cette famille souveraine, dans l`ombre, ne se diffère en rien de vos souverains assoiffés de vengeances, de pouvoirs et de richesses Mais le Méphistophélès inconnu, qui pousserait à de tels agissements, est comme cité plus tôt… inconnu. Mais qu`elle est ce lot de ténèbres dont la royauté serait victime ? Vous le sauriez bien assez tôt. Une naissance était à venir, la reine du pays attendait gaiement un petit garçon. Pour les villageois et, autre consanguinité ne faisant point parti du cercle fermé de la famille, ce jour marquait en soit un moment de joie intense.

Ce jour avait été annoncé tel un jour de renouveau, de part la naissance du petit prince. Mais dans l`enceinte du château, la femme enceinte vivait des heures horribles. Elle se situait dans une salle, peu singulière à un accouchement. Une pièce obscure, tapissée d`une sombre teinture violacé, éclairant le centre de l`alvéole, où se situait la bonne femme à bout de souffle. Des marques toutes aussi étranges, les unes que les autres, définissait les motifs des parois de cette alcôve. Des cantiques s`élevaient au fur et mesure de la progression de l`heureuse péripétie, dont l`origine, n`était autre qu`un regroupement religieux comparable à des prêtes. Des cris stridents résonnaient dans toute la bâtisse. Les bonnes femmes assistant à cet épisode, épongeaient régulièrement la future mère. L`ambiance qui régnait en ce lieu contrastait vigoureusement, de part la chaude danse endiablé, qui se déroulait aux portes du castel. Quelques heures plus tard, tandis que le soleil entamait sa descente vers les ténèbres de la nuit, un cri innocent perça ceux de la reine épuisée. Les créateurs de ces motets, freinèrent immédiatement leurs comportements plus que douteux et étrange.

Le petit prince venait de naitre. De nombreux soulagements s`exclamèrent dans la large pièce décrypté de signes nécromanciens. Tendrement, la nouvelle mère, entouré de sa famille, regardaient cet être pur, qu`ils nommèrent Ryuga, Araki Ryuga. Ce dernier, zieutant de ses pupilles rouges sang, dévisageait son entourage. Sa faible chevelure, laissait imaginer, une quelconque teinte argenté. Il détenait déjà deux traits particuliers, qu`il héritait de sa mère, qui plus tard le distinguerait des populaces. Cependant, si l`ambiance était à la réjouissance, un soulèvement se préparait, dans l`ombre. Dans la sombre clarté de cette nuit qui incisa ses pupilles, des opacités se faufilaient à travers les bois et les buissons. La royauté, entouré de ses plus loyaux serviteurs, suivis des samouraï de la garde, ne se doutaient guère de ce qui pouvait bien se tramer, à l`extérieur de leurs fenêtres. Pendant que des éléments perturbateurs à cette nuit enchanteresse s`activaient, la mère du nouveau née, se reposant tranquillement sur une chaise à bascule, remplissant sa fonction face au crépitement d`un feu chaleureux, chauffant cette salle rafraichis par les nuits, lui chantonnait des cantiques enfantins originaires de nos terres.

Rêvant aux exploits futurs de son unique enfant, cette dernière laissa son esprit s`enlacer dans les humérus d`Orphée. Quelques heures plus tard, les ténèbres s`étant emparés de cette soirée, dans l`ombre de la pièce, éclairée par une insignifiante flamme grésillant de fatigue, un sourire malicieux apparut derrière le trône à bascule. Il s`en suivi d`une délicate mélodie métallique fredonnant la rage de son utilisateur. S`approchant de plus en plus, ce bruit altéra le sens de la jeune reine. Sursautant, les évènements qui s`en précéda, se déroula affreusement vite. Une lame, gorge produisant cette sonorité aiguë, se reflétait à travers les quelques rayons lunaires qui traversaient cet alvéole. Aveuglant la pauvre mère, surprise et sans défense, poussant un cri strident et abominable, la dernière heure de la reine semblait être proche.

Cependant, le destin n`en était guère satisfait. L`assaillant de la jeune femme s`écroula, après un véloce et violant coups porter à l`estomac, par une lame tranchante de justice. Le visage qui se démystifia par la décadence du corps de cet infidèle, fut le celui du chef de l`une des neuf familles principales. Il s`agissait de Tensai Sékou, loyale et fidèle serviteur du royaume et de son souverain. Après un bref récapitulatif de la situation actuel, au détriment de larmes, la reine appris que son royaume faisait l`objet d`un coup d`État. Toutes les familles secondaires s`unirent dans l`unique bute de détrôner le parentèle souverain. Accélérant les évènements, Tensai conduit la royauté en dehors du château, accompagné de la garde royale. Au beau milieu d`une nuit incertaine dans ses choix, chaque ascendance royale, fut divisé en neuf parties, chacune mise sous la protection d`une famille gardienne. Les répartitions, divisions et séparations enfin effectués, le groupe du jeune Ryuga s`enfuit en direction du pays de la Terre, accompagné par le valeureux Tensai.

Ce coup d`état était survenu tel un éclaire, et c`est tel un éclaire, que nous fumes obligés d`abdiquer. La direction dont nous avions tous calculé la destination, nous précipitait vers ces terres méphistophéliques, qui, de leur haine et de leur soif de conquête, avaient aboutis à pervertir notre contrée, aussi vastes et éloigné était-elle. Ce voyage d`exile, ne dura guère une nuit. Durant plusieurs mois, campant, avançant coute que coute, gravissant kilomètre par kilomètre, fuyant, esquivant chacune des attaques interprétés par l`ennemi, perdant des fidèles soldats sur ce chemin endiablé, vers une contrée dégradant pour une royauté. Seule la reine et le roi, enlaçant chaque jour leur digne héritier et, se pliant aux règles de survie, s`abaissaient aux vielles besogne. En s`adossant à ces nouvelles tâches quotidiennes, se donnant plus qu`à fond dans leurs besognes, la reine et le roi, devenus de simples voyageurs, suscitait l`admiration de leurs serviteurs. Visitant chaque cité voisinant notre destination, à mesure que l`on se détachait de la nôtre, les attaques baissèrent en intensités. Nul ne sut, qui avait orchestré ce coup-d `État, et dans quel but l`avait-il proclamé.

Malgré la tournure des évènements précédents et leur brutale régression sociale, notre roi et notre reine, qu`on devra nommer respectivement dorénavant, Ryu et Tsuki, gardaient le sourire. Sans doute, car les deux trésors de leur famille étaient bel et bien entre leurs mains. Avant de vous révéler la raison de tant de mystères se faisant autour de cette famille royale, j`aimerais vous conter une petite légende locale. Au temps de la création de ce monde, pourri et haineux, une divinité, parcourant la planète, tomba sous le charme d`un humain au richesse physique et morale convoités par les cieux. Cette divinité se nommait Amaterasu. Son nom signifie, celle qui brille au paradis. À l`origine de toute lumière sur terre, se liant corps et âme, transmit son don de clarté, à sa progéniture. On raconte, que la famille Araki, n`est autre que la descendance de cette progéniture divine. Le lot de ténèbres, contrastant avec l`origine divine de ce mystère résolu, suscitant énormément d`envieux, était à l`origine de cette claustration royale. Déterminant ce don comme un pouvoir divin offert par les dieux. Le jour de la naissance du petit prince, le rituel qui s`en déroula, permit en toute sécurité, de cette prédisposition à la lumière, au nouveau né.

Après cet période funeste de nos vies, une nouvelle existence s`offrit à nous. Après une longue année, suite à notre exile prématuré, nous avions emménagé, à l`abri des prédateurs, dans la province du Seikaju, le climat du pays de la Terre ne convenant pas à nos exigences. Peu de temps après notre installation en ce lieu, le reste de notre famille nous rejoigne, reformant petit à petit notre groupe. Ensemble et, enfin réuni, nous formions une grande, belle et nouvelle famille, portant le nom d`Araki.


Quel est le grand dragon que l'esprit ne veut plus appeler ni Dieu ni maître ? "Tu dois" s'appelle le grand dragon. Mais l'esprit du lion dit : "Je veux". Plus la situation est mythique, moins on accepte que les personnages de nos romans publics s'en tirent sans mystère. Le divin de l'homme se voit dans les yeux, les gestes, le corps. Quel est le destin de l'homme ? Être un homme ou bien l`instrument de la destruction? L'homme, quoi qu'on en dise, est le maître de son destin. De ce qu'on lui a donné, il peut toujours faire quelque chose. On ne se souvient vraiment que de ce qui vous était destiné. La mémoire ne lit pas les lettres des autres. Dans toutes les existences, on note une date où bifurque la destinée, soit vers une catastrophe, soit vers le succès. Un hasard n'est rien pour une âme froide ou distraite ; il est un signe divin pour une âme obsédée. Du chaos naît une étoile.

L'expérience ne nous offre au premier coup d’œil qu'un chaos suivi d'un autre chaos. La conscience n'est guère dans le chaos du monde qu'une petite lumière, précieuse mais fragile. L'art est l'antithèse même du chaos, qui n'est autre chose qu'une avalanche d'accidents. Cependant, une étoile dans ce chaos, synonyme de lumière, éclairant un nouveau chemin est née. Un chemin qui mènera le monde à une paix durable sans haine et sans chaos. Mon nindo, ma détermination, mon envie de changer un monde sans avenir, tel était ma véritable puissance. La réflexion est une chose commune à toute personne ayant au moins le minimum d’intelligence vulgaire acquis. Comment ? Pourquoi ? Quoi ? Ou encore bien même quand ? Une multitude de questions s’établissant avec une certaine lenteur dans les nombreux esprits maussades des habitants d’un quelconque village. Des esprits malades se croyant finalement et définitivement supérieur alors qu’ils ne sont riens. Seulement de pauvres grains de poussières dans une maison lamentablement abandonnée avec le temps.

Malheureusement, ces souffles de sentiments valétudinaires flottent dans le passé, le présent ainsi que le futur. Bien que les personnes lambda ne peuvent nullement voir les ectoplasmes de peur, ils sont pourtant bien là, présent derrière vous, ou encore bien-même se servant de votre enveloppe corporelles comme habitacle théorique. Ces prismes de plaisirs, ces démons de minuits avançant dans les prémisses du pandémonium. Ces derniers s’en amusent avec une fureur tout simplement inquisitrice. Leur ricanement perça encore et encore les fines oreilles rosâtres du petit ver de la mouche qu’est le démon sans visage. Ses innombrables ailes s’utilisant finalement comme des boucliers. Des objets métalliques qui, malheureusement pour le démon ou bien heureusement pour les ectoplasmes sont totalement inefficaces. Grognant, vivant… Existant. Pourquoi sont-ils présents ? Comment ne nous pouvions point les voir ? La liste de questions pourrait être encore bien longue. Un long chemin de l’existence, de la réflexion, de finalement totalement tout. L’Enfer est finalement et tendrement sur Terre.

Mais, les personnes ne peuvent nullement le voir et par conséquent, ils pensent que le monde peut leur appartenir. Dans les petites mains fébriles dont les ectoplasmes effleurent de leurs dents blanchâtres. Et moi, lumière, lanterne de ce monde, entreprenant un chemin diffèrent, l`éternel s`emparant de mon être, vous contant les piliers de ma vie, je limiterais mes péripéties. Lorsque j`eus l’âge pré-requis pour pouvoir commencer un entrainement digne du titre qui m`était du d`endossé, ne serait-ce qu`une nuit, c`est-à-dire à l’âge de quatre ans, je fus initier à l`art du samouraï, plus communément appelé Bushido et, à l`art du ninja qui se basait principalement sur le Ninjutsu, l`art historique de ces derniers. Le bushido, code d’honneur et de comportement social qui exigeait du guerrier, Bushi ou Samouraï, le sens de la justice et de l’honnêteté, le courage et le mépris de la mort, la sympathie envers tous, la politesse et le respect de l’étiquette, la sincérité et le respect de la parole donnée, la loyauté absolue envers les supérieurs et enfin la défense de l’honneur, du nom et du clan.

Selon ce code, les Bushi et, plus particulièrement les Samouraï, devaient observer une étiquette sévère et consacrer leur vie et leur esprit à une ou des activités ‘dépassant l’homme ordinaire’ et transcendant la vie et la mort. Le bushidô est une manière d’être, de se comporter envers ses semblables et, une fidélité absolue à une ligne de vie, qui faisait appel au respect de soi et des autres, quels qu’ils fussent, faibles ou forts, ainsi qu’à la maîtrise parfaite de son mental, de ses pulsions et de ses passions, afin de maintenir l’esprit en harmonie avec l’univers. Il est évident que cet idéal n’était atteint que très rarement. Le ninjutsu, quant à lui, est l`art utilisé par les ninjas, il est décomposé en 9 écoles d`enseignement, appelé Ryu, ou l`on pratique les techniques ninjutsu et le renforcement de l`esprit. Je passai plusieurs années, à m`entraîner jour et nuit, au développement de mon corps et de mon esprit.

Autant que des techniques de combat, les arts martiaux sont des moyens de se réaliser, d'atteindre la maîtrise et la connaissance de soi. La démarche spirituelle, voire religieuse, fait partie intégrante des arts martiaux. Les grands maîtres ont toujours enseigné que l'important n'est pas de se battre, que l'art de la guerre doit être celui de la paix et que, en définitive, il faut gagner sans se battre. C'est l'harmonie qui triomphe du désordre. Un maître du sabre ne tue pas son ennemi, c'est celui-ci, par manque de sagesse, qui vient se détruire sur le sabre. En quelque sorte, les arts martiaux relèveraient de la dissuasion vis-à-vis des autres, ils constitueraient une méthode pour vaincre l'adversaire et seraient surtout une voie pour atteindre l'ultime état de la sagesse. Voilà dans qu`elle mode de vie je fus élevé. Cependant, j`appris également à développer mon intellect. On m`enseigna la géographie et l`histoire de notre monde, mais aussi l`art d`effectuer des calcules et d`entrainer mon cerveau.

Après dix-huit ans passés sur cette terre méphistophélique, mon grand voyage intellectuel ouvrit ces portes. Le moment des adieux arriva. Les pleurs, les encouragements et, les embrassades prirent quelques minutes. C`est alors que sur un magnifique cheval blanc, sous les rayons d`un soleil gracieux, je filai à toute vitesse vers une destination encore inconnue. En jetant mon regard une dernière fois, sur les tristes mines, de ce qui fut mon entourage durant ces dix-huit longues années, et à cette forêt dense mystérieuse de l`extérieur, qui me servit d`abri et de refuge, je m`enfonçai dans la forêt. Un puissant vent et frais traversa tout mon corps athlétique, faisant ainsi claquer et danser mes longs cheveux fins argentés au rythmes du vent, tout comme les feuillages, d`un vert foncé, des arbres voisinant. Les oiseaux chantaient pour leur petit affamé. La nature fait les hommes semblables, la vie les rend différents. Ceux qui ne savent pas qu'ils marchent dans l'obscurité ne verront jamais la lumière. On ne peut pas ouvrir l'esprit des autres si sien reste clos.

Nous avons toujours le choix. Et j`avais fait le mien. Changer la vision du monde et guérir le cœur blessé des Hommes. Ne connaissant que ma géographie je pris la direction du nord, où se situait un vaste territoire du pays de la terre. Je traversai, fleuve, foret et plaine. Tout ce magnifique paysage me laissa sans voie. Mon cœur battait à vive allure, tant mon excitation fut grande à la vue de ce monde dont j`avais rêvé de visiter. Durant une année entière, je parcouru se vaste étendu de montagne, tout en pointant vers l`oest. Sur mon chemin je rencontrai de nombreuses personnes, chacun arborant un caractère différent, mais tous aussi aimables. Cependant, dans ce beau monde, des briguant pourrissait son atmosphère. Dans le but de sauver des vies et des familles, j`eus besoin de dégainé mes sabres. En guise de remerciements, les populations de chaque village m`offrit ce qu`il pouvait m`offrir. Ils forgèrent des lames toutes aussi expressives de leur reconnaissance.

J`avais beau leur prétendre, que je n’avais nul besoin de remerciement ou de récompense, ces braves gens ne m`écoutait guère. Au fil des jours passés avec eux, mon contacte social évolua. Avec ces charges supplémentaires, un sceau d`invocation s`imposait. Je me fis tatouer deux sceaux sur l`avant-bras, permettant l`invocation ces dernières. Le climat n`avait point changé depuis mon départ, cependant, plus je me rapprochai du pays du vent, se situant plus au sud, un vent humide et une fraicheur insupportable se fit sentir. Subvenir aux besoins de chaque village, me détournai guère de mes heures d`entrainement quotidien. Je ne passai moins d`un mois au pays du vent, le temps requis pour traverser ce grand pays. Le paysage y était désertique, aride et plonger dans un territoire enneigé.

Mon expérience en combat se développait, au fur et à mesure du temps que je passais dans chaque village. Mon lot de récompenses augmentait de village en village. C`est la raison pour laquelle, il fut un temps où je ne pus plus accepter d`autre gratification de ce style. Je me dirigeais vers le pays de l`eau, situer plus à l`est. Ma renommé suivant mon ascension social, ils me surnommèrent Byakurai. Ce pseudonyme, resta dans la mémoire des habitants et dans la mienne. Après un climat glacial, humide et aride, le pays de l`eau m`apporta cependant une satisfaisante brise fraiche, originaire de l`étendue bleue turquoise, qui séparait le grand continents à celui de ce petit pays. Après quelques mois, en leur compagnie, vint le tour du pays de la foudre, se situant plus au nord, avec un climat tempéré. Deux ans s`était déjà écoulé, depuis le début de mon voyage. Cependant, je passai plus d`un printemps dans ce magnifique pays, dont le climat se rapprochait du miens, à l`exception de quelques paysage enneigés.

Une année, c’est le temps qui me fallut pour remplir mes contrats, me prélasser, m`entrainer, et visiter les moindres recoins de ce grand pays. Je découvris les sources chaudes, qui m`apporta un confort, dont je pensai ne plus m`en passer, le thé et une liste remplie d`autres merveilles de ce monde. Le pays du feu, dont je fis présence pendant douze mois, m`apportai de plus ample informations sur la face du monde de nos jours. Avant, je ne voyais qu`avec des yeux candide. Ce monde était certes magnifique, mais il pourrissait de l`intérieur et, ça je le voyais bien dans les regards de la populace. Un monde meilleur… Voilà ce qu`ils recherchaient. Qu`elle en était la cause ? La Haine ? Pourquoi tant de Haine ? Mes ennemies me haïssaient, pourquoi ? Je pris prestement la direction du pays du feu, où je restai, une longue année. La fin d`une chose est le début d`une autre, et dans le cas de ce monde merveilleux, mais perverti par la haine, la fin du chaos, de la colère et de l`orgueil de l`homme, entraineront la paix et un amour incommensurable.

Reflue au point de départ, dans cette province verdoyante et luxuriante de Seikaju, je fis partager mes aventures et mésaventures avec le reste de ma famille. Partageant mes récompenses, mes idéaux et mon nindo, la fin de mon voyage annonçait le début d`un autre


3. L`arme de la paix

Vivant sans crainte, m`exerçant tranquillement dans cet endroit paisible. Ma lame crépitant à chacun de ses mouvements, fluide et impassible. D`une grisante couleur métallique. Ma lame gémissant à chaque caresse procurée par ce vent flegmatique. Cet air frai et pur qu`inhalait mes poumons, à chaque impulsion qu`effectuait mon intellect, allégé par cette brise matinal. Un coup puis un deuxième, mon esprit et mon âme, bouillonnant, laissait échappé un liquide. Ce liquoreux translucide, preuve de la suractivité de mon organisme. Mon énergie s`écoulait à travers mon être, tel un long fleuve tranquille, sans pour autant affaiblir la liquidité de mes désescalades. Tout au long de l`ascension cardinal de l’Etoile, qui régnait sur notre doctrine astrale, mes altérations s`effectuaient sans encombre, mais mon enthousiaste et mon perfectionnisme les poussèrent présentement à un niveau supérieur. Je résidais dans un milieu étrange, caractéristique du pays de l`herbe. Le paysage qui m`étais dû d`apprécier, étais cependant divisé en deux panorama bien distinct.

Face à mes pupilles rouges sang, se dressaient des bambous, faisant la taille extraordinaire d`un arbre centenaire. Le décor se trouvant derrière mon échine, couvert par un kimono en soie blanche, se caractérisait par une immense plaine fleurie de mille et une couleur vivante. Chaque rayon de soleil pénétrait ce ciel sans nuage, pour finir leurs trajectoires sur ce champ de végétations, Harmonisant ainsi le tout, pour créer un paradis terrestre. Un ciel bleu et sans nuage, malgré sa frontière commune avec d`autre pays au climat sec et aride. À se demander si ces derniers n`étaient pas maudite. C`est ce caractère abstrait qui me poussai vers ce pays. C`est cet allure nouveau, qui me charmai. C`est cette particularité qui m`attirai. Seul dans ce monde sans crainte et sans peur, je pouvais enfin m`adonner à mes combats, et mes méditations acharnées. D`un geste de ma main célibataire, une compagne au visage métallisé et tranchant apparue.

D`après leur dire, ce pays vue le théâtre de combat sanguinaire dû à la récente guerre shinobi. Je dois vous avouer que cette contrée, était pour moi le symbole de la renaissance. Un exemple à calquer pour tous les pays. Mais l`homme est cruel et, cela prendra encore longtemps avant qu`il se débarrasse de cette inhumanité. La cruauté est un acte présent partout dans ce pâle monde résultant des monstruosités les plus fines. Et pourtant, finalement, cela ne dérange littéralement plus personne. La violence, la cruauté, la mort, le champ lexical du désespoir est partout en nous. Nous le savons tous plus ou moins. Consciemment ou nullement. Originalement, nous nous délectons de cette cruauté chaque minute de notre pâle existence. Se déroulant comme du papier à musique, sa douce mélodie éclatant dans une gerbe de cristaux magnifiques, éveillant les pupilles de nombreuses personnes aux alentours. Cette fastueuse planète maintenant tâché par la présence des humains.

Ce monde à l’origine blanchâtre, pâle, maussade. Il est maintenant salit pour toujours. Mon enseignement principalement composé du bushido et du ninjutsu, m`avait permis d`extrapoler ces atrocités humaines de mon être. J`avais, par l`intermédiaire de mes recueillements quotidiens, appris à ne guère mélangé ces sentiments néfastes au miens. Cette mauvaise anecdote à laquelle les Hommes s`attachaient, allait bientôt sombrer dans ma lumière. L’histoire s’intègre avec une facilité déconcertante dans les esprits assez maussade des hommes. Bien entendu orchestrer par une espèce de commentateur avalant ses propres paroles de par la nonchalance du geste. Cette chose tout simplement abjecte, mais pourtant qu’on vénère avec une folie tout simplement inquisitrice, voire peut-être fanatique. Enfin trêve de bavardage. En mon âme et conscience, je décidai de faire abstraction de toutes ces réflexions, pour me remettre à mon entrainement. Un puissant vent se leva, faisant claquer ma chevelure d`une nuance verdâtre argenté. Puis a la fin de cette journée, la nuit tomba et le cauchemar commença…
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Le monde onirique des rêves... quoi de plus palpitant que de fermer les yeux, et de se laisser emporter dans des lieux tous plus farfelus les uns que les autres, et qui parsèment de couleurs abstraites et attractives ? Ce monde personnel, ce jardin secret, qui n'est accessible que par une seule et même personne. Chacun possède son propre havre de paix, et lui seul peut y pénétrer... En revanche... quand on évoque le mot "rêve", on voit toujours arriver son antagoniste : le cauchemar... c'est indéniable... un rêve n'est jamais parfait... il y a toujours ce qu'on pourrait appeler des malfaçons. Après tout, un rêve n'est-il pas extraordinaire juste après être sorti d'un terrifiant cauchemar ? Ryuga, redressé sur son lit, au beau milieu de la nuit, respirait fort, et récupérait son souffle... A première vue, il semblait tout juste avoir achevé un véritable marathon... mais non, ce n'était pas le cas. Réveillé en plein sommeil après un cauchemar qui lui semblait si réel, il ne pouvait songer à se rendormir, de peur de reprendre son mauvais rêve au même moment, au même endroit.

Retenant un instant sa respiration afin de se concentrer sur quelque chose de positif, il tourna la tête en direction de la fenêtre située à deux pas de son lit, et observa d'un regard fatigué la lune, qui brillait d'un éclat blanc magnifique. La plupart du temps, les rêves avaient une quelconque signification... pour d'anciennes civilisations du passé, les songes étaient des messages envoyés par les dieux, et qui devaient être interprétés... Le nukenin sans village, après avoir reprit ses esprits, focalisa son attention sur le contenu de son rêve, afin de pouvoir en déceler la signification cachée. Debout au beau milieu de ce qui semblait être nulle part, le ninja se trouvait face à une immense forêt enneigé luxuriante, et au loin, dépassant la cime des arbres, le toit d'un bâtiment qui ressemblait à une sorte de temple. Ryuga voyait approcher de lui un homme un peu plus grand que lui, portant un long manteau noir, ayant des cheveux noir platine, tel la noirceur d`une soirée lunaire, qui lui descendaient jusque dans le bas de la nuque, et un regard marron vif, à vous glacer le sang.

Dans sa main droite, il tenait fermement une incroyable lame, un katana pour être exact... Tétanisé par la peur, le ninja cherchait un moyen de fuir, voulant échapper par n'importe quel moyen à cet homme, dont les intentions apparaissaient comme hostiles. Le ninja sentait sous bras ce qui ressemblait à une boîte, fermée par un sceau... Sabre brandi vers le jeune Araki, l'inconnu s'approchait de plus en plus, jusqu'à se retrouver à quelques mètres de lui. Ryuga, comme contrôlé par une force inconnue, tendit le bras, et remit le contenant à l'épéiste en face de lui, avant de se retrouver transpercé par l'immense lame de Katana.

C'est alors que, tandis qu'il ressentait pleinement les effets et les blessures de l'arme blanche, notre ninja voyait au loin, juste au dessus du temple, des yeux roses cristallines scintillants qui le scrutait précisément, ainsi qu'un sourire sadique, qui semblait lui être adressé personnellement. Et puis plus rien... le noir absolu... Voyant que la nuit allait être constamment agressée par ce genre de phénomènes oniriques, Ryuga ne voulut pas tenter le diable en se recouchant, il sortit de son lit, enfila ses vêtements, récupéra son sabre accroché sur le mur, et quitta son domicile... Vagabondant à travers les rues endormies de la ville, il cherchait avec désespoir un moyen de s'ôter ce mauvais rêve de la tête. Voilà plusieurs semaines, voire plusieurs mois qu'il refaisait exactement le même cauchemar ! Toujours devant la même forêt, toujours non loin du même temple, et toujours cet homme aux longs cheveux blancs, qui approchait d'une marche funèbre. Rien que d'y penser, Ryuga en avait des frissons !

C'est alors qu'un souvenir du cauchemar refit surface : la forêt ressemblait à celles qui composaient le Pays de la neige... et si ce rêve était prémonitoire ? Le samourai inclina la tête vers l'arrière, et observa une nouvelle fois le ciel, ainsi que la voûte étoilée qui accompagnait l'astre lunaire. C'est alors qu'il trouva une éventuelle solution à tous ses problèmes ! Voilà ce qu'il allait faire : se rendre au Pays de la neige, et chercher une signification à tout cela ! Après tout, le village était en pleine reconstruction, et il pourrait très bien se passer de ses services, non ? Emportant avec lui le strict minimum, ainsi que quelques provisions il mit les voiles en direction du Pays en question, et quitta le village le soir-même. Profitant de la nuit fraîche et apaisante, le ninja opta pour la course plutôt que la marche, pour parcourir assez vite la distance qui s`opposait. Ce pays enneigé se situait tout au nord du continent, partageant ses frontières avec le pays de la foudre et celui de la Terre. Je quittai alors, ce magnifique paysage du pays de l`herbe, pour me lancer une nouvelle fois, vers une vérité cachée.
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Après plusieurs jours de périples, je pénétrai enfin dans les contré du pays de la neige. La température avait chuté de plusieurs degrés. Un manteau blanc recouvrait le sol et ma pèlerine. Aucun homme en vue, et le soleil qui entamait sa descente. Un vent plus que glacial engourdissait mes muscles. Il me fallait de l`activité, au risque d`entrer en hypothermie. Il faisait froid… Très froid… Je ne peux vous dire, si, à ce moment même de mon existence, je pouvais ordonner un geste à mon être gelé. Il faisait froid… Si froid. Un homme est d’accord pour souffrir du refroidissement, s’il veut explorer le pôle Nord. Au sommet septentrional… Une Sensation d`y être sans jamais y être aventuré. Quand le coeur est chaud, on n'a pas froid au corps. Pourtant brulant de l`intérieur, ce dernier ne transmettait en rien cette chaleur tant convoité. On parle toujours du feu de l'enfer, mais personne ne l'a vu. L'enfer, c'est le froid. Cette animosité méphistophélique, que nul ne pourrait supporter. Aucun Homme, guerrier de ce monde, et principal vandale de cet univers, ne pourraient y faire face, même avec la plus révolutionnaire des machines.

Le fer se rouille, faute de s'en servir, l'eau stagnante perd de sa pureté et, mon corps se glace par le froid. De même, l'inaction sape la vigueur de l'esprit. Ne pas avoir faim, ne pas avoir soif, ne pas avoir froid ; celui qui dispose de cela, et à l'espoir d'en disposer à l'avenir, peut lutter comme il arrive, et coulera des jours heureux. Mon esprit combatif, luttait coute que coute contre ce blizzard asservissant. Oui, c'est comme ça, il y a des jours où l'on ne vit pas. C'est comme ça, il y a des jours où rien ne va. Des jours de pleins soleils où l'on a si froid, que les plus pauvres joies vous glissent entre les doigts. Cependant, il ne tient qu`à nous de surmonter cet obstacle. Tous les yeux regardent, peu observent, très peu voient. Encore une vertu de l`homme qu`il n`à sut faire prospérer. Néanmoins les miens voyaient une plate-forme enneiger, prête à le dévorer. D`ailleurs c`est tout ce qui m`était du d`admirer, au plus profond des terres de ce pays hivernal. Heureusement je sentais une chaleur humaine s`avancer vers moi. Mon cœur battant la chamade, à chaque pas, le rapprochait de mon être ébouillanté.

Lorsque cet inconnu, dont je ne pus démystifier le visage, tant tôt je fus bloqué par ce froid, s`avança, se jumelant davantage, une étrange sensation se produisit en mon être intérieur. Mon cœur battant de plus en plus fort, je ressentais une présence en mon âme et conscience. Soudain… Plus rien… Quelque seconde plus tard, une intense pulsation, se situant au niveau de ma poitrine, accompagné d`un écartèlement de mes globes oculaires, explosa. Des frissons, des sueurs froides, parcoururent toute mon enveloppe corporelle. Plongé dans une obscure noirceur, seul un écran relatant les faits actuels submergeait cet espace vide. Serait-ce un genjutsu ? Serait-ce une attaque de cet inconnu ? Non. Je ne sentis aucune perturbation dans le flux de mon chakra. Dans cet univers sombre, je perçus un son, un écho, une voix, m`interpelant par mon petit nom, se dégagea de cet immense mer noire. D`où connaissait-il mon nom de baptême? Apparemment ce dernier pouvait également entendre mes pensées, car il me répondit par un rire sarcastique.

Comment était-ce possible ? Aux yeux de l`homme, au moment où il me posa sa question, il vit mon corps déambuler dans ce manteau enneigé, tel un zombie renaissant de ses cendres. Brusquement, un sourire sadique couvrit la totalité de mon visage, mon regard s`assombris à en devenir ténébreux et, j`émis des rires sataniques. Rire, qui à l`occurrence ne faisaient pas partie de mes caractéristiques morales et éthiques. Que m`arrivait-il ? Je ne contrôlais plus aucun de mes mouvements. J`étais devenu spectateur de mon propre vivant. Toujours contrôlé par cette force invisible, je me retournai face à mon interlocuteur, arborant un visage démoniaque. Mes yeux leurreraient dans la sombre clarté de la nuit, tel un animal possédé. D`un pas vif, j`assenai, au voyageur nocturne, un violant coup de coude à l`estomac, le faisant trainailler dans la neige fraichement tombé, sur plusieurs mètres. À une distance de combat convenable, dans un panache d`étincelle, mais deux mains célibataires furent couplé à deux magnifique lame d`une teinte ténébreuse et métallisé.

Mon regard transcendant le corps de mon adversaire, je semblais attendre la relève de ce dernier. Après mainte réflexions, cette voix m`était d`autant plus familière qu`étrange, se calquant sur la mienne, appliquant de légères différences. Ma chevelure, qui plutôt arborait une teinte immaculé et luxuriante, se décolora, en une sombre et blanchâtre crinière. Cette dernière, par un puissant vent hivernal, claquait et se baladait de part et d`autre de ma capitale. J`avais beau ordonné, à mes muscles de stopper toute activité, aucune exécution ne se produit. Cette situation allait à l`encontre de mes idéaux et de mes enseignements. Et j`allais devoir le vivre en tant que spectateur, sans pouvoir y changer quoi que ce soit. Comment cela à-t-il put se produire ? Qu`elle était la vérité dans toute cette zone d`ombre ? J`avais beau essayer de communiquer avec cette entité qui logeait en mon âme et conscience. Mais ce dernier préféra garder le silence. Cependant en véritable samouraï, selon mon code de l`honneur, à la moindre occasion de libération spirituelle, je reprendrai le contrôle de mon être. En attendant, tout en regardant le combat qui allait suivre, je méditai sur ma vie et, celle qui allait s`ouvrirai à moi après ce combat, si j`en ressortait vivant….

Qui suis-je ? Qu`elle est la raison de ma visite en ce monde ? Suis-je ici, pour ne voir que la mort ? Suis-je là, pour rependre un message ? Suis-je le messie ou simplement son instrument ? Tant de cris, tant de mort, dans de vie, tant de mort, qui se meurt, qui se torde. Qui nous-sommes pour réduire ce chef-d’œuvre a l`état de cendre ? Qui sommes-nous, pour réduire, ce cadeau, qu`es la vie. Qui diable, ce cache derrière cette haine. Qui diable convertit l`amour en sang. Et qui diable, en rit derrière nos cœurs. Pourquoi tant de souffrances et de malheur ? Mon cœur se meurs, devant cette vision d`horreur. Mon cœur se meurt, devant cette population cœur. Que puis-je offrir à ce monde pourrit ? Que puis-je leur offrir ? Mon corps ? Non. Mon âme ? Non. La seule façon de leur venir en aide est de démystifier se Méphistophélès inconnu. C`est à travers mon corps, mon âme et, mon esprit, que l`arme de paix, que je suis, pourfendra ce monde.

Voila j`ai terminer ma présentation ?

Salut bienvenue a toi =)

Pour moi sa sera Genin de rang 7. On commence tous genin donc le grade pas trop le choix ^^'. Sinon j'ai bien aimé ta présentation. Quand aux fautes j'en voie pas vraiment mais je ne suis pas le mieux placé pour sa. En attente donc d'un autre admin =)

ok j`attend